[Sapristi, mais je n’avais pas publié cet article ! Du coup c’est un peu dans le désordre…]
J’avais promis un article à chaque fois qu’on va voir Schnapsou. Je vais tâcher de tenir ma promesse, mais ça sera sûrement plus succinct que d’habitude…
Pas de photos cette fois-ci, pas vraiment le temps d’en prendre. Sur la liste de choses qu’on avait prévues, on a fait :
- observé l’avancée des solutions pour que les miettes et poils ne passent pas sous les planchers
- du tri et du rangement. Tous les anciens panneaux de Schnaps, qui étaient stockés contre les murs du hangar, sont passés dans nos mains pour déterminer s’ils étaient destinés à la poubelle (par exemple les faux-plafonds, des étagères en aggloméré lourdes comme des ânes morts, des morceaux de parois pas réutilisables) ou éventuellement réutilisables pour des bricolages futurs. D’autres matériaux, comme des chutes de contreplaqué, de mousse isolante, des tubes, etc etc, ont aussi été entassés intelligemment en attendant de les ranger dans un endroit qui arrangera le chantier. Idéalement on aurait aussi rangé nos étagères dans le container, où sont stockées la plupart de nos équipements plus petits dont l’accastillage, mais faute de temps on s’est restreints à un réarrangement logique de tout ce qui sera remonté sur le pont de Schnaps quand il sera peint. Ce n’est donc pas fini et il nous reste encore un certain nombre de trucs à retrouver.
- Une révision du devis pour la « splash list », c’est-à-dire les choses à finir pour pouvoir remettre Schnaps à l’eau. Évidemment le total des heures de travail estimées est bien plus conséquent que ce qu’on voudrait, donc on pose des questions pour comprendre ce que ces heures veulent dire. Pour certaines tâches, avec les explications, on comprend pourquoi ils ont prévu tant d’heures. Mais on insiste quand même pour réduire le travail au minimum et mettre des priorités. Le reste on fera quand Schnaps sera dans l’eau et avec nous.
- Embarquer des trucs pour avancer dessus à l’appart. Les hublots pour nettoyer les résidus de silicone avant qu’ils soient remontés, un petit panneau pour tester la peinture antidérapante…
- Rajouter des choses sur les listes de trucs à faire, de gens à contacter, de bidules à acheter, de choses à retrouver, de trucs à décider, etc etc. Histoire d’avoir de quoi s’occuper les soirs de la semaine, sinon on s’ennuierait.
- Gérer la marmaille qui veut tout le temps manger s’ils savent qu’il y a des trucs un peu originaux dans le sac de nourriture, comme des barres de céréales. Ils sont cools ces loulous quand même, super autonomes, patients et positifs.
- Récupérer quelques morceaux de contreplaqués du tas poubelle pour avancer le projet de Bouzouk de faire un mini catamaran en bois. Il avait récupéré la dernière fois un panneau triangulaire, qu’il a peint depuis, et il avait fait des plans pour les autres pièces avec des mesures et tout et tout. Il manque encore les coques, et tout est en pièces détachées, mais c’est cool de pouvoir l’encourager à bricoler. Il méritait bien ça, vu la patience dont il a fait preuve !
Comme les petits jeux du dernier article ont été trouvés rapidement, le nouveau petit jeu c’est : dans quelle pièce de l’ancien ameublement de Schnaps a été découpée la base du catamaran de Bouzouk ?
Voilà, envoyez vos idées !
Bravo au futur architecte de marine : il est bien inspiré par Papa et Maman. Avec la récupération des éléments de Schnaps, il va pouvoir se lancer dans la construction industrielle. Je pense que les anciennes cloisons du carré en sont la matière première. Bon vent.